Compte-rendu de la réunion de l’association L’AMAP, le 30 juin 2005 à 19h, Maison des Initiatives
étudiantes, 50, rue des Tournelles, 75003 PARIS
Amitié des Peuples du Monde,
Présents : Monsieur Ait Ouali Nasserdine, Madame Barbosa Lucia, Madame Ben Karich Sabrina, Monsieur Benamar Rachid, Monsieur Berger Guy, Monsieur Castro Alfonso, Madame Chiclet Françoise (trésorière), Madame Couëdel Annie (présidente), Monsieur Courtois Maurice (vice-président), Monsieur Diakhate Assane, Madame Dimitrova Gergana, Madame ccc, Monsieur Merichiche Khaled, Madame Ozorio Lucia Maria, Monsieur Reveco Jorge, Monsieur Sandoval Daniel, Madame Tomassi Sandra, Monsieur Triki Nacim, Monsieur Victorino Flores, Madame Vitale Elodie, Monsieur Weinspach Simon.
La présidente accueille les participants à la réunion et donne des précisions sur l’activité de l’association. La création de la filiale de l’AMAP au Chili est en cours ; la présidente va transmettre au consulat du Chili les documents enfin obtenus. La création en Grèce d’une “société civile à but non-lucratif” est envisagée sous l’impulsion de Monsieur Yorgos Stamelos
Campagne d’adhésion : un certain nombre d’objections sont présentées à l’idée d’une telle campagne : par crainte d’une dispersion des efforts, il faut approfondir la réflexion (Jorge Reveco) ; il n’est pas intéressant de voir adhérer des ‘sympathisants’ qui ne participent pas vraiment aux travaux de l’association (Sabrina Ben Karich). L’association doit fonctionner à partir de la réalisation de projets, auxquels s’intéressent les adhérents, ce qui implique une organisation des fonctions des adhérents (Assane Diakhate). Pour Daniel Sandoval, l’organisation doit s’appuyer sur son potentiel humain, sur un élan et des idées dans les directions d’action privilégiées – par exemple le patrimoine, les bibliothèques – et sur la recherche de partenariats avec d’autres associations : le fait de travailler en coopération avec d’autres structures permet de favoriser les financements, qui sont liés aussi au nombre d’adhérents de l’AMAP. Selon Nasserdine Ait Ouali, le fait d’être adhérent, par exemple à Amnesty international, ce qui est son cas, ne signifie pas forcément que l’on participe à l’action de l’association, mais que l’on approuve ses objectifs et qu’on soutient ainsi ses initiatives.
Selon Maurice Courtois, proposer d’adhérer à l’association à des personnes qui partagent ses objectifs, organiser et réaliser des projets, et donner l’appui administratif et financier aux porteurs de projets, sont toutes les trois des activités nécessaires. Il faut donc ne pas privilégier l’une au dépens des autres. Guy Berger ne craint pas d’utiliser le mot de ‘cotisants’. On en a besoin, dit-il, et pour en avoir il faut faire savoir ce que l’on fait, et donc agir.
Communication : Site internet : l’URL http://pageperso.aol.fr/lamap1/ est une adresse provisoire en attendant que l’AMAP ait un domaine. Il contient l’ensemble des textes sur le fonctionnement de l’association (statuts, compte rendus de réunions, convocation, etc) une présentation des origines de l’association (Paris 8, le CIVD) des projets et des principaux choix d’action. Nasserdine Ait Ouali souhaiterait que l’AMAP se dote d’un bulletin, mais c’est pour l’instant difficile en termes de financement et de diffusion. Une section de débats sera ouverte sur le site pour diffuser les textes proposés sur les orientations, les choix, les principes de l’AMAP. Une section est prévue pour diffuser les compte-rendus (avec images) des projets réalisés.
Projets :